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[2nde] [urgent] Commentaire de candide chapitre 6

Envoyé par sophiedu33700 
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[2nde] [urgent] Commentaire de candide chapitre 6
samedi 19 mars 2011 17:02:48
Bonjour, on vient d'aborder aujourd'hui le commentaire de texte.

Candide, chapitre 6 voltaire
Après le tremblement de terre qui avait détruit les trois quarts de Lisbonne, les sages du pays n'avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale que de donner au peuple un bel auto-da-fé ; il était décidé par l'université de Coïmbre que le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu, en grande cérémonie, est un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler.

On avait en conséquence saisi un Biscayen convaincu d'avoir épousé sa commère, et deux Portugais qui en mangeant un poulet en avaient arraché le lard : on vint lier après le dîner le docteur Pangloss et son disciple Candide, l'un pour avoir parlé, et l'autre pour avoir écouté avec un air d'approbation : tous deux furent menés séparément dans des appartements d'une extrême fraîcheur, dans lesquels on n'était jamais incommodé du soleil ; huit jours après ils furent tous deux revêtus d'un san-benito, et on orna leurs têtes de mitres de papier : la mitre et le san-benito de Candide étaient peints de flammes renversées et de diables qui n'avaient ni queues ni griffes ; mais les diables de Pangloss portaient griffes et queues, et les flammes étaient droites. Ils marchèrent en procession ainsi vêtus, et entendirent un sermon très pathétique, suivi d'une belle musique en faux-bourdon. Candide fut fessé en cadence, pendant qu'on chantait ; le Biscayen et les deux hommes qui n'avaient point voulu manger de lard furent brûlés, et Pangloss fut pendu, quoique ce ne soit pas la coutume. Le même jour la terre trembla de nouveau avec un fracas épouvantable.


Merci pour ce plan, mais mon professeur m'a imposé un plan :
I.l'absurdité de la cérémonie fait
a) les buts de cette cérémonie fait
b) les causes de cette cérémonie fait
c) une cérémonie païenne fait

II. La mise en scène d'un spectacle (en cours)
a) déroulement du spectacle
b) description du carnaval
c) musique

III. La cruauté des inquisiteurs
a)la prison
b) la mort
c) l'inflagélisation je ne sais pas comment ça s'ecrit

Vous pouvez svp corrigé les fautes d'orthographes et à rédigé correctement.

I.l'absurdité de la cérémonie
a) les buts de cette cérémonie


"moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale" (l.3), qui est une antiphrase, voltaire pense que c'est le moyen le pus efficace derrière l'ironie. Utilisation de la négation, "n'avait pas trouvé que...."(l.3) C'est un choix par dépit, donc critique des sages.
"plus efficace"(l.3) superlatif
"passage secret infaillible" (l.8) C'est une hyperbole qui devient ironique. Le terme"secret" renvoie une idée de sorcellerie.
"pour empêcher la terre de tremblé" Avec la dernière phrase, qui devient rétrospectivement ironique.
Donc, on également le champs lexical de la sorcellerie, utilisé pour empêché la terre de tremblé. "petit" (l.7) "brûlées" (l.7)
"secret"(l.8)


b) Les causes de la cérémonie

En effet, on observe une dénonciation qui vise à critiqué l'inquisition ; le fanatisme de la religion.
"Le tremblement de terre"(l.1) est la cause de cette cérémonie qui parait absurde.
On note, le champs lexical du tremblement de terre "tremblé "(l.8), "fracas" (l.33) "ruine"(l.4) qui encadre le texte et montre l'inutilité de la cérémonie. évocation de la géologie.
Nous pouvons dire, que la géologie est la raison d'une cérémonie religieuse. Tout au long du texte, est composé d'une omniprésence de termes religieux. Les termes suivants renvoie à l'université :"sages"(l.2)"université"(l.5)
Donc, champs lexical à l'institution qui renvoie aux organisateurs.
"il était décidé" (l.5) Insistance sur les inquisiteurs d'université. Forme passive, qui cache la mise en valeur de la décision arbitraire.
"les sages du pays" (l.2)antiphrase qui apparait à des personnes qui ne sont pas si sages que ça à la fin du texte.
Le pronom personnel "on" (l.10) est ambiguë et équivoque l'université de Coimbre ou les inquisiteurs.
" avait en conséquence saisi " (l.10) Temps utilisé : le plus que parfait qui a une valeur d'accomplie, une action achévé.
C'est une décision irrévocable.

c) Une cérémonie païenne

On cherche les conséquence de la cérémonie qui sont absurde.
On observe la présence du champs lexical de la cérémonie "spectacle"(l.6) "musique"(l.27),"cérémonie"(l.7), "chantait"(l.29)
Qui fait apparaitre une cérémonie qui s'apparente à un spectacle.
Le champs lexical de la religion "sage"(l.2),"procession"(l.25et 26)"sermon"(l.26),"faux bourdon" (l.27)
On a donc une conséquence de la cérémonie religieuse.
Champ lexical du diable, on a une cérémonie religieuse qui condamne. "flamme", "queue", "diable".
L'adverbe "très"qui suivit de sermon met en valeur l'aspect pathétique de la cérémonie.
L'adjectif mélioratif,"bel musique"contredit les musique funèbre des orgues.
Une périphrase, qui évite les musicale religieuse, qui remplace la signification des orgues et insiste sur l'aspect religieux.
La présence d'une métaphore culinaire "fut brulé"(l.8) qui est un euphémisme.
Une comparaison d'un buché, cérémonie religieuse.
Opposition petit/grand antithèse, qui atténue la pratique du feu et met en valeur les inquisiteurs à la fête.
l.31 "pangloss fut brulé" opposition brulé/pendu. Deux différents pratiques.
"bien que" insistance sur les deux pratiques.
Évocation dans le deuxième paragraphe des victimes de cette cérémonie biscayen, pangloss, candide.
Évoqué par leur cupidité. Omniprésence de participe passé : "épousé","arraché","parlé","écouté". On note une gradation qui devient de plus en plus absurde et de plus en plus grave.
C'est une cérémonie qui devient d'autant plus païenne puisque on ne condamne pas les hérésies des étrangers qui n'ont rien fait.
C'est un jugement arbitraire.

II. La mise en scène d'un spectacle

a) déroulement du spectacle

Le rythme du texte, devient haletant. Nous allons étudié la structure du texte :
La première partie,c'est à dire de la l.1 à 5, parle de la cause du tremblement de terre.
La deuxième partie, de la l.5 à 9, évoque la décision simultané de l'autodafé. C'est un rythme haletant qui sépare les événement.
Mise en valeur de la simultanité par rapport à l'événement passé.
La troisième partie,l.10 à 16 traite les victimes et de leur faute. On a une impression rapide des choix des victimes.
"avait saisi" est un plus que parfait qui montre une décision de l'auto-da-fé. Conséquence quasi simultané.
La quatrième partie, l.16 à 19, est la condamnation et l'emprisonnement immédiat. On le remarque avec 2 .... le point virugle et le passé antérieur qui raconte une action rapidement passé.
Rapport, entres les termes suivant : soleil et 8 jours passé, montre le temps passé; ellipse.
l.18"ellipse temporelle plus que sommaire".
Accélération du temps, au seins d'une même phrase.
La cinquième partie de la ligne 19 à 25, la préparation de la cérémonie et description de leur costume. En effet, c'est la seule pause du récit, avec l'imparfait = explication informatif. Anticipation de la condamnation de Pangloss et de la fin (l.25)
Narration de la cérémonie relaté en quelques lignes"marchérent, entendirent" donc c'est une cérémonie rapide.
La sixième partie, l.32 à 33 évoque la fin de la journée. C'est une phrase courte avec lien temporelle. On a encore une simultanité.
On voit dans ce passage, l'évolution du texte en nous racontant 8à 10 jours.
Sommaire : événement enchainant rapide.
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